Résumé du Paris Games week
Pour sa première année le Paris Games Week a fait très fort. Il a complètement bouleversé la hiérarchie des autres salons du jeu vidéo en France.
120000 personnes. C'est le nombre impressionnant de visiteurs qui se sont réunis à Porte de Versailles durant les 5 jours du Paris Games Week. Une performance d'autant plus incroyable quand on la compare avec celle des autres salons, installés en France depuis bien plus longtemps. Selon les estimations le PGW aurait réuni 2 fois plus de monde que le Festival du jeu vidéo et le Micromania Game Show (qui avait lieu le même weekend).
120000 personnes sont donc venues fêter toutes ensemble le jeu vidéo dans la bonne humeur générale et ce pour la première année du salon. Une fête qui aura vu l'installation de stands de nombreux éditeurs (Square Enix, Capcom, Nintendo, Microsoft...) et d'une flopée de bornes permettant aux visiteurs de s'essayer aux futurs hits (ou pas) qui sortiront d'ici peu sur nos chères consoles.
La rédaction de Square Palace s'est rendue sur les lieux afin de voir de plus près, après le festival du jeu vidéo, ce qu'il en était.
Venir un samedi après-midi est un très mauvais choix. L'endroit débordait de monde, weekend de vacances oblige. Pourtant, la location de l'immense Hall 1 de Porte de Versailles par les organisateurs, laissait imaginer une atmosphère vivable et dégagée. Douce vision non réalisée lors de la découverte du lieu. Pour rentrer : aucun problème ; pour naviguer dans le salon : attention aux coups de coudes. L'endroit était, néanmoins, globalement bien fichu. De larges allées permettaient de se déplacer aisément entre les stands et les grandes bannières des éditeurs (on retiendra le grand panneau Nintendo fêtant les 25 ans du plombier moustachu) facilitaient le visiteur pour se repérer dans le salon. Si vous étiez perdus, des plans étaient disponibles à l'entrée en version papier ou bien sous la forme de pancartes informatives. Tout a été prévu pour rendre la tâche la moins compliquée possible au visiteur tête en l'air. Les éditeurs avaient chacun leur lot de bornes envahies par une horde de joueurs ne rêvant que de titiller avec joie le pad. Nintendo bénéficiera du stand le plus gros avec pas moins d'une petite vingtaine de DS, et au moins la moitié de Wii. Un grand espace était par ailleurs réservé à ceux qui voulaient jouer en coopération sur Dragon Quest IX ou s'échanger des pokémons.
Côté jeux à tester, le salon n'était pas avare en titres. Les gamers pouvaient s'essayer à Fable III, Golden Sun Dark Dawn, ou encore Final Fantasy XIV pour les amateurs de RPG comme nous, Donkey Kong Country Returns, Gran Turismo ou Marvel Vs Capcom 3 pour les autres. Le salon proposait une kyrielle de titres en tout genre allant du jeu de baston traditionnel au soft de dégommage de dindons (si si je vous jure). On s'arrêtera deux secondes sur ce jeu qui fit le bonheur de l'équipe du site, carabine à la main.
Les jeux, c'est bien, mais qu'en est il pour le reste ? Le salon permettaient aux visiteurs de rencontrer diverses rédactions vidéo-ludique organisant des concours en tout genre. On retrouvait donc les stands de jeuxvidéo.fr, jeuxactu et Yellow Media (Joypad, Console+...) ou encore Gameblog. Une bonne idée pour ceux qui voulaient en apprendre plus sur le métier de journaliste vidéo-ludique. Pour avoir pu discuter un peu avec eux, il est dommage de ne pas avoir eu assez affaire à de vrais journalistes, mais plutôt à des représentants communication.
Le PGW proposait également deux-trois boutiques où il était possible d'acheter vêtements et goodies. Mention spéciale au stand Ubisoft avec ses tee-shirts et ses figurines aux couleurs des Lapins Crétins. Otaku Wear proposait aussi son lot de tee-shirts parodiques mêlant différents univers à celui du jeu vidéo. Un régal pour les collectionneurs de vêtements funs comme votre serviteur. Et comment parler du salon sans évoquer l'énorme flash-mob "They Don't Care About Us" proposé par le stand du jeu Michael Jackson : The Experience sur Wii. Une bonne trentaine de figurants s'étaient rassemblés sous l'impulsion d'Ubisoft afin de réaliser une chorégraphie complète et synchronisée (parfois). Dans un si petit espace, c'est juste très impressionnant (et étouffant).
Enfin, une grande scène et un écran géant étaient mis à la disposition des journalistes afin qu'ils présentent un jeu. On retiendra ce combat épique entre Link et un Scorpion Géant, phase de boss du prochain Zelda Skyward Sword.
Le Paris Games Week, pour sa première édition, nous a fait rêver. L'idée d'étendre l'évènement sur une semaine presque complète fut une très bonne idée. Diablement efficace dans son organisation, le salon a su fédérer de nombreux fans et acteurs du jeu vidéo. Et sa mise en place a été récompensée par une très forte affluence bien méritée. Que demander de plus ? Ah oui ! ENCORE !
Photos à venir !
120000 personnes. C'est le nombre impressionnant de visiteurs qui se sont réunis à Porte de Versailles durant les 5 jours du Paris Games Week. Une performance d'autant plus incroyable quand on la compare avec celle des autres salons, installés en France depuis bien plus longtemps. Selon les estimations le PGW aurait réuni 2 fois plus de monde que le Festival du jeu vidéo et le Micromania Game Show (qui avait lieu le même weekend).
120000 personnes sont donc venues fêter toutes ensemble le jeu vidéo dans la bonne humeur générale et ce pour la première année du salon. Une fête qui aura vu l'installation de stands de nombreux éditeurs (Square Enix, Capcom, Nintendo, Microsoft...) et d'une flopée de bornes permettant aux visiteurs de s'essayer aux futurs hits (ou pas) qui sortiront d'ici peu sur nos chères consoles.
La rédaction de Square Palace s'est rendue sur les lieux afin de voir de plus près, après le festival du jeu vidéo, ce qu'il en était.
Venir un samedi après-midi est un très mauvais choix. L'endroit débordait de monde, weekend de vacances oblige. Pourtant, la location de l'immense Hall 1 de Porte de Versailles par les organisateurs, laissait imaginer une atmosphère vivable et dégagée. Douce vision non réalisée lors de la découverte du lieu. Pour rentrer : aucun problème ; pour naviguer dans le salon : attention aux coups de coudes. L'endroit était, néanmoins, globalement bien fichu. De larges allées permettaient de se déplacer aisément entre les stands et les grandes bannières des éditeurs (on retiendra le grand panneau Nintendo fêtant les 25 ans du plombier moustachu) facilitaient le visiteur pour se repérer dans le salon. Si vous étiez perdus, des plans étaient disponibles à l'entrée en version papier ou bien sous la forme de pancartes informatives. Tout a été prévu pour rendre la tâche la moins compliquée possible au visiteur tête en l'air. Les éditeurs avaient chacun leur lot de bornes envahies par une horde de joueurs ne rêvant que de titiller avec joie le pad. Nintendo bénéficiera du stand le plus gros avec pas moins d'une petite vingtaine de DS, et au moins la moitié de Wii. Un grand espace était par ailleurs réservé à ceux qui voulaient jouer en coopération sur Dragon Quest IX ou s'échanger des pokémons.
Côté jeux à tester, le salon n'était pas avare en titres. Les gamers pouvaient s'essayer à Fable III, Golden Sun Dark Dawn, ou encore Final Fantasy XIV pour les amateurs de RPG comme nous, Donkey Kong Country Returns, Gran Turismo ou Marvel Vs Capcom 3 pour les autres. Le salon proposait une kyrielle de titres en tout genre allant du jeu de baston traditionnel au soft de dégommage de dindons (si si je vous jure). On s'arrêtera deux secondes sur ce jeu qui fit le bonheur de l'équipe du site, carabine à la main.
Les jeux, c'est bien, mais qu'en est il pour le reste ? Le salon permettaient aux visiteurs de rencontrer diverses rédactions vidéo-ludique organisant des concours en tout genre. On retrouvait donc les stands de jeuxvidéo.fr, jeuxactu et Yellow Media (Joypad, Console+...) ou encore Gameblog. Une bonne idée pour ceux qui voulaient en apprendre plus sur le métier de journaliste vidéo-ludique. Pour avoir pu discuter un peu avec eux, il est dommage de ne pas avoir eu assez affaire à de vrais journalistes, mais plutôt à des représentants communication.
Le PGW proposait également deux-trois boutiques où il était possible d'acheter vêtements et goodies. Mention spéciale au stand Ubisoft avec ses tee-shirts et ses figurines aux couleurs des Lapins Crétins. Otaku Wear proposait aussi son lot de tee-shirts parodiques mêlant différents univers à celui du jeu vidéo. Un régal pour les collectionneurs de vêtements funs comme votre serviteur. Et comment parler du salon sans évoquer l'énorme flash-mob "They Don't Care About Us" proposé par le stand du jeu Michael Jackson : The Experience sur Wii. Une bonne trentaine de figurants s'étaient rassemblés sous l'impulsion d'Ubisoft afin de réaliser une chorégraphie complète et synchronisée (parfois). Dans un si petit espace, c'est juste très impressionnant (et étouffant).
Enfin, une grande scène et un écran géant étaient mis à la disposition des journalistes afin qu'ils présentent un jeu. On retiendra ce combat épique entre Link et un Scorpion Géant, phase de boss du prochain Zelda Skyward Sword.
Le Paris Games Week, pour sa première édition, nous a fait rêver. L'idée d'étendre l'évènement sur une semaine presque complète fut une très bonne idée. Diablement efficace dans son organisation, le salon a su fédérer de nombreux fans et acteurs du jeu vidéo. Et sa mise en place a été récompensée par une très forte affluence bien méritée. Que demander de plus ? Ah oui ! ENCORE !
Photos à venir !
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Commentaires
Naaaaaan, j'ai loupé ça ? Pourquoiiiiiiiiii ?!
Pour reprendre ce que disaient les autres : salon un peu décevant, mais bien plus consistant que celui que nous avions fait la fois précédente. Des jeux, des préviews, des rencontres avec les concepteurs, des tests, des magazines, des goodies, vraiment de tout mais centré sur le jeu vidéo.
Des gros hits mais pas de grosse surprise malheureusement. J'avais osé espéré une apparition éclair de la 3DS, mais les Divinités Nintendoiennes n'ont pas entendu mes prières. Bon, les hits sont là mais ce n'est pas pareil.
Ambiance assez bonne enfant. Bornes, queue, et même déplacements, tout se passe calmement et sans heurts. J'ai même échangé deux-trois mots avec quelques quidams dans la foule, on sympathise assez vite.
Par contre, à remarquer au niveau du public : une majorité de gamers (occasionnels à compulsifs) qui savent ce qu'ils veulent, quand ils le veulent et où ils le veulent. Peu de "paumés" venus prendre l'air par ci par là. Très peu de cosplay-gothic lolita - énerguménes déguisés également, sans doute plus attirés par la Chibi.
Et des FIIIIIIILLES ! Si si, les joueuses ça existe !
Du monde, mais pas tant que ça finalement. On circule bien, on a pas tant d'attente que ça à part pour certaines files d'attente.
Et enfin, le truc qui a fini par nous faire fuir : le volume à fond, les lumières à devenir épileptiques. Trop d'attire-passant finissent par le faire fuir.
Merci Pampa !
Bon alors quand même au stand Ubisoft ils présentaient le nouveau jeu des Lapins Crétins Retour vers le Passé, avec de sacré clins d'oeil à Day of the Tentacle ! Sans oublier les incredible mask de lapins crétins.
j'aime la précision du jeu du dindon
Oh yeeeeeaaaaaah Dude!!!