L(éa)ouise : Passion septième Art ! :D
Bonjour/bonsoir ! Premier topic pour ma pomme ! Wouhoooooo !
J'ai cherché sur le forum, et j'ai rien trouvé qui correspond à la "passion" cinématographique. Donc, pour remédier à cela, je me suis dit que j'allais créer ce nouveau topic, et que je le dédierai à tout ce qui est en rapport avec le cinéma ! Que ce soit aussi bien pour les nouvelles sorties que les vieux de la vieille.
On va commencer par un film, et pas un des moindres, puisque là, direct, d'entrée de jeu, on va s'attaquer à...
The Wall, réalisé par Alan Parker en 1982.
Le synopsis sur Allociné donne ça :
"Après le décès de son père pendant la Seconde Guerre mondiale, Pink est élevé par une mère tyrannique. Devenu rock star, il mène une vie tourmentée et s'enferme sur lui-même dans sa chambre d'hôtel. Peu à peu, il sombre dans la drogue tandis que la folie commence à s'emparer de lui... ".
Perso, j'ai pas compris tout ça quand j'ai regardé le film ! >_< Son père mort pendant la seconde guerre mondiale, oui ; rock star, non ; vie tourmentée et repli sur soi, oui ; mère tyrannique, non ; drogue, oui ; folie, évidemment. Autant vous dire dès le départ qu'il vaut mieux être un spectateur averti et attentif si vous vous attelez à ce film ! Âme sensible s'abstenir... (surtout au moment où il se rase le téton. :berk: ) puisqu'il s'agit d'un drame quelque peu bizarre, et quand on comprend à peu près, un peu bouleversant quand même.
La particularité du film et ce qui le rend vachement intéressant, c'est que c'est la bande originale (BO) du film, interprétée par les on ne peut plus célèbres Pink Floyd, qui fait office d'explication et qui nous permet de comprendre la majeure partie du film. En effet, le personnage princial, Pink, (comme c'est bizarre dis-donc, ça me rappelle un groupe...) passe son temps devant sa télé à zapper ou à se tremper dans sa piscine en se croyant dans un bain de sang, imaginant surement la mort de son père. Communication zéro, donc, soyons clair. Et même pas il discuterait avec sa copine pour nous aider à la compréhension, non plus.Et ensuite il s'étonne qu'elle aille coucher ailleurs... Bref, Pink n'est pas très coopératif, et c'est grâce à la musique entraînante, comme celle-là par exemple nous permet de découvrir le sens des images.
L'aspect original du film c'est le mélange de séquences filmées animées, qui correspondent en fait le plus souvent à ses délires... Exemple : En plein dans une transe, il imagine une grosse fleur (qui n'est autre que son ex) qui le suit et lui voudrait du mal... (En gros.)
Pourquoi ce titre de film ? (The Wall signifie le mur, au cas où...) Déjà parce que Pink passe le plus clair de son temps dans sa chambre d'hôtel. Alors, forcémment il est enfermé enter quatre Walls !
Ensuite, plus sérieusement, Pink en plus d'être enfermé physiquement, est enfermé psychologiquement ! Entre la drogue (pour sortir de l'état de dépressif qui a perdu son paternel), le sexe (pour se remettre du fait que sa copine l'ait largué ) et la violence (parce qu'il ne bouge pas de son fauteuil en face de son téléviseur, forcément il a besoin de se défouler des fois...). Le mur est donc la représentation de son enfermement. Simple mais jolie métaphore.
Cet enfermement finit par le rendre complètement schizophrène, puisqu'il se voit sur la fin comme un dictateur nazi (les marteaux croisés qui rappellent la croix gammée et son salut qui ressemble étrangement au salut hitlérien). Et, oh surprise ! Son premier traumatisme est dû d'abord à son père mort pendant la seconde guerre mondiale. Et, qui est LE responsable de cette guerre ? Hitler ! Mais oui ! Tout concorde ! N'est-ce point génial ?
L'autre point positif c'est donc l'inclusion d'images animées. Il est clair qu'elles portent toute une symbolique, et qu'il ne faut pas en rester au sens premier des images.
L'affiche du film correspond d'ailleurs à une de ces images. Wiwiwi ! La tête qui en fait sort d'un mur représente l'enfermement de Pink dans son monde un peu en marge. Mais pourquoi elle crie cette tête ? A-t-il envie de sortir ce cet état de choc et d'enfermement ? Peut-être... Mais en tout cas, il ne se donne pas les moyens.
On a aussi une superbe métaphore de la sexualité avec les deux fleurs qui se tournent autour. L'une a la forme d'un pénis, et l'autre (excusez-moi du mot, mais j'ai rien trouvé d'autre. :3) "l'entrée" d'un vagin. Avec une image, c'est un peu plus compréhensible. xD. Là, c'est quand même assez flagrant !
Un film spécial avec un BO géniale et des idées originales ! Moi, je kiffe. Et vous ?
P.s : Films présentés dans ce topic : The Wall, Alan Parker.
Chatroom, Hideo Nakata.
Edit : Désolée, j'ai fait une faute dans la description du sujet, c'est coups de coeur cinématographiqueS. Voilà.
J'ai cherché sur le forum, et j'ai rien trouvé qui correspond à la "passion" cinématographique. Donc, pour remédier à cela, je me suis dit que j'allais créer ce nouveau topic, et que je le dédierai à tout ce qui est en rapport avec le cinéma ! Que ce soit aussi bien pour les nouvelles sorties que les vieux de la vieille.
On va commencer par un film, et pas un des moindres, puisque là, direct, d'entrée de jeu, on va s'attaquer à...
The Wall, réalisé par Alan Parker en 1982.
Le synopsis sur Allociné donne ça :
"Après le décès de son père pendant la Seconde Guerre mondiale, Pink est élevé par une mère tyrannique. Devenu rock star, il mène une vie tourmentée et s'enferme sur lui-même dans sa chambre d'hôtel. Peu à peu, il sombre dans la drogue tandis que la folie commence à s'emparer de lui... ".
Perso, j'ai pas compris tout ça quand j'ai regardé le film ! >_< Son père mort pendant la seconde guerre mondiale, oui ; rock star, non ; vie tourmentée et repli sur soi, oui ; mère tyrannique, non ; drogue, oui ; folie, évidemment. Autant vous dire dès le départ qu'il vaut mieux être un spectateur averti et attentif si vous vous attelez à ce film ! Âme sensible s'abstenir... (surtout au moment où il se rase le téton. :berk: ) puisqu'il s'agit d'un drame quelque peu bizarre, et quand on comprend à peu près, un peu bouleversant quand même.
La particularité du film et ce qui le rend vachement intéressant, c'est que c'est la bande originale (BO) du film, interprétée par les on ne peut plus célèbres Pink Floyd, qui fait office d'explication et qui nous permet de comprendre la majeure partie du film. En effet, le personnage princial, Pink, (comme c'est bizarre dis-donc, ça me rappelle un groupe...) passe son temps devant sa télé à zapper ou à se tremper dans sa piscine en se croyant dans un bain de sang, imaginant surement la mort de son père. Communication zéro, donc, soyons clair. Et même pas il discuterait avec sa copine pour nous aider à la compréhension, non plus.Et ensuite il s'étonne qu'elle aille coucher ailleurs... Bref, Pink n'est pas très coopératif, et c'est grâce à la musique entraînante, comme celle-là par exemple nous permet de découvrir le sens des images.
L'aspect original du film c'est le mélange de séquences filmées animées, qui correspondent en fait le plus souvent à ses délires... Exemple : En plein dans une transe, il imagine une grosse fleur (qui n'est autre que son ex) qui le suit et lui voudrait du mal... (En gros.)
Pourquoi ce titre de film ? (The Wall signifie le mur, au cas où...) Déjà parce que Pink passe le plus clair de son temps dans sa chambre d'hôtel. Alors, forcémment il est enfermé enter quatre Walls !
Ensuite, plus sérieusement, Pink en plus d'être enfermé physiquement, est enfermé psychologiquement ! Entre la drogue (pour sortir de l'état de dépressif qui a perdu son paternel), le sexe (pour se remettre du fait que sa copine l'ait largué ) et la violence (parce qu'il ne bouge pas de son fauteuil en face de son téléviseur, forcément il a besoin de se défouler des fois...). Le mur est donc la représentation de son enfermement. Simple mais jolie métaphore.
Cet enfermement finit par le rendre complètement schizophrène, puisqu'il se voit sur la fin comme un dictateur nazi (les marteaux croisés qui rappellent la croix gammée et son salut qui ressemble étrangement au salut hitlérien). Et, oh surprise ! Son premier traumatisme est dû d'abord à son père mort pendant la seconde guerre mondiale. Et, qui est LE responsable de cette guerre ? Hitler ! Mais oui ! Tout concorde ! N'est-ce point génial ?
L'autre point positif c'est donc l'inclusion d'images animées. Il est clair qu'elles portent toute une symbolique, et qu'il ne faut pas en rester au sens premier des images.
L'affiche du film correspond d'ailleurs à une de ces images. Wiwiwi ! La tête qui en fait sort d'un mur représente l'enfermement de Pink dans son monde un peu en marge. Mais pourquoi elle crie cette tête ? A-t-il envie de sortir ce cet état de choc et d'enfermement ? Peut-être... Mais en tout cas, il ne se donne pas les moyens.
On a aussi une superbe métaphore de la sexualité avec les deux fleurs qui se tournent autour. L'une a la forme d'un pénis, et l'autre (excusez-moi du mot, mais j'ai rien trouvé d'autre. :3) "l'entrée" d'un vagin. Avec une image, c'est un peu plus compréhensible. xD. Là, c'est quand même assez flagrant !
Un film spécial avec un BO géniale et des idées originales ! Moi, je kiffe. Et vous ?
P.s : Films présentés dans ce topic : The Wall, Alan Parker.
Chatroom, Hideo Nakata.
Edit : Désolée, j'ai fait une faute dans la description du sujet, c'est coups de coeur cinématographiqueS. Voilà.
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Bonne idée le topic.
Belle interprétation des fleurs.
J'vais faire le maximum pour le laisser actif, promis !
Si vous avez des idées de films, je suis preneuse.
Rumisque > Je pense qu'avec l'explication -sans vouloir me vanter- il te sera plus facile de t'y attaquer et de comprendre.
Sinon on peut présenter nos films nous aussi ?
Ce qu'il faudrait faire je pense aussi c'est une liste des films étudiés pour les nouveaux venus qui n'auraient pas pris le temps de lire toutes les descriptions.
Mais en tout cas très bonne initiative !
Dr4gOOn > C'est noté ! J'vais faire une liste dans le premier post comme ça c'est cool !
Pour la tête hurlante, je pense que ça veut dire qu'il se rend compte de ce qu'il vit, il en souffre donc, mais oui il n'en sort pas pour autant.
Je voudrais ajouter un petit truc par rapport à l'image des fleurs (bien pensée!) : leur ombre est bien différente, elle représente un combat entre deux têtes animales (oiseaux charognards ?), et l'une d'elle, la féminine, est dotée de dents. Je pense aussi que sa position supérieure compte dans la représentation, au vu de ce que tu as dit sur les craintes de Pink envers sa copine.
Brunhild > L'image des fleurs que j'ai mise, c'est une espèce de fan art de la fille qui tient/tenait le blog. Mais je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis. Les femmes sont supérieures aux hommes. Mouaha. :eukaijesors:
L'album est clairement l'énoncé de l'enfermement progressif subi et narré par Roger Waters (alors bassiste de Pink Floyd), qui a écrit la majorité de l'album. Avec le rythme des tournées, il s'est petit à petit replié sur lui même au point même de détester son public (il me semble que la goutte d'eau était une bouteille balancée par un gars du public sur scène).
Du coup, Waters en a tiré l'album The Wall, une quasi-autobiographie puisque l'album raconte, sur le premier CD, la construction de ce "Mur", depuis la naissance du personnage (In The Flesh, The Thin Ice), une mère trop possessive (Mother), des professeurs qui le harcèlent (Another Brick In The Wall Part 2), la vie de Rock Star (Young Lust)... Jusqu'à la dernière brique posée sur ce mur (de manière imagée). En fait tous ces problèmes dans sa vie ne sont que les briques qui ont construit ce mur. La fameuse phrase "Another Brick in the Wall"...
Sur le second CD, ce sont les tentatives du personnage pour revenir à la réalité, souvent infructueuses (Hey You), les appels à des médecins qui ne mènent rien (Comfortably Numb), et bien sûr la rédemption avec un procès de son propre esprit dans The Trial.
L'idée du film est arrivée suite à la sortie de cet album et n'était qu'une pierre à l'édifice que représente le chef-d'oeuvre qu'est "The Wall". Le projet se compose donc d'un album, d'une tournée (puisque lors des concerts un Mur se construisait progressivement devant le groupe au fur et à mesure de l'interprétation, jusqu'à les enfermer concrètement sur la deuxième partie du concert avant la chute. Roger Waters a d'ailleurs récemment relancé ce projet lors de sa dernière tournée), et donc un film.
Donc le film The Wall, oui, mais c'est surtout le concept qu'il faut souligner!
Elle m'a dit que c'était une bagarre entre deux fans qui avaient déclenché cela et qu'il aurait même craché sur l'un des deux.
Les membres ont bien évidemment choisi la deuxième proposition, ce qui donne le disque actuel.
Mais c'est pour dire à quel point le bonhomme était égocentrique...
Mais je pense qu'avec l'âge il a su revenir vers un peu moins d'arrogance, en témoigne ses prestations scéniques et sa communion avec le public, dont j'ai pu être témoin lors de sa dernière tournée. Ce mec force le respect, c'est clair et net.
Mais j'admire quand même les autres attention, ceux sans qui le Floyd n'aurait jamais décollé, je suis un grand fan de Gilmour qui est pour moi l'un des tout meilleurs guitaristes au monde. Trop souvent oublié à mon goût!
Ce film est classé dans le genre Thriller, et j'suis assez d'accord parce que perso j'suis vraiment resté dans le film tout du long.
Film qui n'est toujours pas à conseiller aux âmes sensibles parce qu'il est sacrément bouleversant quand même ! (moi, aimer les thriller psychologiques ? Non... :P)
Je m'y atèle quand j'aurai fini de réviser ma littérature, promis ! ! !
Voilà voilà. Bonne fin de journée/soirée/nuit.
Bonjour bonjour ! Bonsoir bonsoir !
Chatroom donc. Un film sorti en salle en 2010. Un film récent, et pour cause. Le sujet principalement abordé c'est les risques des chats (non, pas les animaux tout chous...) d'où le titre Chatroom.
L'histoire paraît plutôt simple au premier abord. Un jeune homme (*mode pré pubère on* super sexy ! 'O' *mode pré-pubère off*), William, interprété par Aaron Jonhson, 17 ans décide de créer une chatroom (salle de chat) pour les jeunes de son âge et de sa ville : Chelsea. Il l'appelle Chelsea Teens.
Quatre autres jeunes gens le rejoignent : Eva, Jim, Mo et Emily. Tous ont leur propre caractère bien défini.
Eva est plutôt du genre grosse pétasse qui n'en a rien à faire des autres, prête à tout avec ses amies pétasses. Jim est fragile. Mo a les pieds sur terre, il aime énormément la télévision (il le dit d'ailleurs au début). Quant à Emily, elle n'a pas confiance en elle et se retrouve donc facilement influençable.
Voilà la bande annonce. Là, on comprend qui est qui. (Il est canon Aaron, hein ? Ö)
Le film est divisé en deux 'mondes' (comme dans les jeux vidéos xD). Le monde virtuel et le monde réel. Les deux sont distingués par les couleurs, beaucoup plus éclatantes dans le monde virtuel que réel. A croire que le virtuel est plus vivant et intéressant que la réalité. On a déjà là une sorte d'avertissement : attention aux apparences sur internet ! Lorsque nous sommes dans la réalité, les protagonistes sont généralement devant un moyen de communication ayant accès à internet : téléphone, ou ordinateur.
//ATTENTION RISQUE DE SPOIL//
Bref, William sort tout juste de dépression (enfin ca c'est ce que ses parents croient). Il a une pathologie qui le pousse a kiffer le malheur des autres. Il profite de la faiblesse des autres. Le vilain ! (Pour ceux qui ont envie de voir le film, ça sert à rien d'aller plus loin. \o/) Derrière le garçon gentil et souriant que l'on voit dans la bande annonce, se cache un méchant garçon, avide de mort et de suicide.
Le plus intéressant dans ce film c'est la tactique que William a employée pour obtenir la confiance des quatre autres, pour mieux pousser Jim dans le chaos. Il joue d'abord au gentil garçon, qui rend service. Emily a des problèmes de famille. Sa famille n'en a plus rien à faire d'elle. Elle confesse qu'elle voudrait bien un peu plus d'attention de la part de ses parents, mais que malgré ses tentatives ça reste sans succès. William lui conseille donc la 'petite violence' du style vider un pot de peinture rouge sur la porte toute blanche. Malheureusement, ça marche... Ses parents s’intéressent à à elle, puisqu'elle n'est plus la petite fille docile et bien rangée. Elle ne devient pas une grosse délinquante, mais elle est satisfaite du résultat.
Il séduit Eva, pour pas qu'elle ne lui mette de bâtons dans les roues...
Une fois tous les cocos dans la poche, il s'attaque à Jim, le plus faible des cinq. Il le force à expliquer les raisons de sa dépression. Son père l'a abandonné lorsqu'ils étaient au zoo. Depuis, il culpabilise et prend des antidépresseurs. William, toujours avide de suicide veut provoquer sa mort en le convainquant qu'il faut qu'il se suicide, à la fois pour son bien et celui de son père (Logique ? Aucune !). Il arrête son traitement, et se laisse lamentablement aller, pensant trouver du réconfort dans les discussions entretenues avec William. Celui-ci, de plus en plus pressé d'arriver à son but, lui propose un rendez-vous pour lui donner l'arme qui devrait mettre fin à ses jours.
Mais, (sinon y'aurait plus de film), Mo se rend vite compte de la supercherie. Il essaie tant bien que mal d'expliquer à Jim que le comportement de William est un peu bizarre et que c'est pour un certaine satisfaction personnelle qu'il souhaite sa mort. Lorsque Jim en est au point de tirer sur la détente (c'est comme ça qu'on dit ? :3) devant son ordinateur pour que William puisse le voir, ben finalement il n'est pas prêt à mourir. Et il comprend ce que Mo a essayé de lui faire piger. Il était temps ! Il sort donc des toilettes publiques dans lesquelles il s'était caché (il a retrouvé William pour récupérer l'arme, mais n'est pas rentré chez lui, il avait pris avec lui son ordinateur), mais se fait courser par William qui l'a vu.
Bien qu'essayant de le forcer toujours à se foutre en l'air, il ne le fait pas, il reste lucide : ce n'est pas ce qu'il veut. Il se retourne contre William, le prend de cours, et s'enfuit. Finalement, c'est William qui se suicide. L'arroseur arrosé comme on dit. Au moins il ne fera plus de mal à personne. La morale de l'histoire : ne pas se fier aux apparences, mais plutôt à son instinct ! Protéger son prochain, et ne pas se laisser influencer par l'effet de groupe.
Plus facile à dire qu'à faire ceci dit. L'effet de groupe et la cohésion qui peut (faussement) apparaître donne des ailes, un sentiment de puissance qui pousse à toujours aller plus loin. Bref le groupe c'est pas bien, il faut penser par soi-même le plus possible.
P.S : QUI A CHANGE LE NOM DE MON TOPIC ? è_________é J'm'appelle même pas Léa en plus.
edit de nuu : mais euh...
Au passage, quelqu'un peut mettre le spoil en "citation" pour faire plus classe ?
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